“ L’évaluation qui compte, c’est celle que l’on offre à chaque cours, pour chaque élève afin de l’aider à construire sa danse.” Lisa Landry

 

Sa formation initiale commence au Conservatoire National de Région de Rennes en double cursus danse classique et danse contemporaine.

Elle valide son Cycle d’Enseignement Supérieur avec la médaille d’or.

Lisa Landry poursuit ensuite ses études pédagogiques au CFRD de Nantes et obtient ses deux Diplômes d’Etat en danse jazz et en danse contemporaine.

Se formant à la technique Limon auprès de Betty Jones et Fritz Ludin, elle suit des formations en technique Feldenkrais et Dalcroze.

Lisa décroche des stages avec Catherine Diverrès ainsi que le chorégraphe de la Compagnie Sankai Juku : Ushio Amagatsu, maître butô.

Sa carrière de danseuse professionnelle débute par une reprise de rôle dans une pièce de Gigi Caciuleanu, puis intègre la Compagnie Bissextile (chorégraphe Stéphane Fratti).

Depuis 2019, elle rejoint la compagnie « Just’ à 2 » (chorégraphe Marco Cattoï).

Depuis 20 ans, Lisa Landry enseigne dans des conservatoires de la région parisienne.

Elle intègre l’équipe professorale de La Petite Ecole de Danse en septembre 2020.

Enseignant également dans des stages et participant à des jurys de concours nationaux et internationaux, Lisa est aussi chorégraphe. Elle a participé à des projets avec la Philharmonie de Paris et avec le Musée du Louvre.

Lisa Landry a formé de nombreux élèves et leur a permis d’intégrer des écoles supérieures de danse tels que les Conservatoires Supérieurs de Musique et de Danse, avant de devenir danseurs professionnels.

L’ enseignement de Lisa Landry se développe sur deux axes fondamentaux.

Tout d’abord la transmission d’une technique de danse contemporaine basée sur les notions de poids, de suspension, de déséquilibres, tout en offrant une grande mobilité de la colonne vertébrale, de manière à développer une danse organique nuancée qui soit source de plaisir ! Et d’autre part l’exploration des différentes natures et qualités de mouvements sous forme d’ateliers d’expérimentation.

 

François de Closets :

« Il n’y a pas de bonne pédagogie qui ne commence par éveiller le désir d’apprendre. »